Mash
Mash prêt à l'emploi
Mash est un mélange de flocons à distribuer après une sollicitation importante de l’organisme (effort musculaire intense, convalescence, jours de transport ou de grosses chaleurs etc). Il favorise l’hydratation et permet la reconstitution des réserves énergétiques (1). Fabriqué en France.
Comment l'utiliser
2 à 4 l par repas
1 fois par semaine
Tous chevaux
adultes
Mélanger la quantité de Mash à 2L d’eau chaude.
Laisser gonfler pendant une dizaine de minutes.
Mélanger pour homogénéiser.
Laisser tiédir avant de distribuer.
Les quantités de MASH conseillées sont données avant l’ajout d’eau.
Distribuer un mash par semaine, 2 maximum pour les chevaux convalescents ou très sollicités.
Les actifs
Ortie
Mash est composé de :
– Glucides très digestibles, pour reconstituer les réserves en glycogène consommées pendant l’effort.
– Flocons qui se gorgent d’eau, pour des propiétés réhydratantes.
– Carottes déshydratées, pour l’appétence.
– Ortie, connue pour ses vertues détoxifiantes et anti-inflammatoires
(1) Riches en glucides très digestibles.
Composition
Principales matières premières : Flocons d’orge, avoine, flocons de
maïs, graines de lin, flocons de carotte, ortie.
Apports nutritionnels
CONSTITUANTS ANALYTIQUES
Protéine brute 9.5 %
Matières grasses brutes 3,5 %
Cellulose brute 6.5 %
Cendres brutes 4 %
ADDITIFS (par kg)
VITAMINES :
Vitamine A 5 000 UI
Vitamine D3 700 UI
Vitamine E 100 UI
Vitamine B1 (thiamine) 6,0 mg
Vitamine B2 2,0 mg
Pantothénate de Calcium 5,0 mg
Vitamine B6 2,0 mg
Acide folique 1,25 mg
Vitamine B12 0,01 mg
Vitamine PP 10 mg
Vitamine B8 (biotine) 0,25 mg
Vitamine K 1.0 mg
OLIGO-ÉLÉMENTS :
Fer (sulfate) 45 mg
Manganèse (oxyde) 25 mg
Zinc (oxyde) 37 mg
Cuivre (sulfate) 13 mg
Iode (iodure) 0.3 m
Sélénium (sélénite) 0.15 mg
Conseils d’utilisation du produit
Depuis des siècles, les différentes civilisations humaines utilisent des plantes pour leurs vertus préventives et thérapeutiques et aujourd’hui encore, de nombreuses médecines traditionnelles reposent sur leur utilisation. L’Organisation Mondiale de la Santé estime d’ailleurs que 70% de l’actuelle population humaine y aurait recours pour se soigner [OMS, Genève, 2002].
Mieux vaut prévenir que guérir