Detox
Soutien fonction hepatorenale
Détox purifie l’organisme en soutenant les actions détoxifiantes et drainantes du foie et des reins (1) (2) (3) (4). Il est particulièrement recommandé dans les situations pour : les chevaux athlètes fournissant des efforts intenses, pour les chevaux présentant une sensibilité hépatique ou rénale. lors d’un changement de saison, après un vermifuge ou un traitement médicamenteux
Comment l'utiliser
25 à 50 ml
par jour
5 à 7 jours
à renouveler selon les besoins
Tous chevaux adultes
Sauf juments gestantes
Agiter avant chaque utilisation. Ajouter 25 à 50 ml deux fois par jour à la ration.
Les actifs
Curcuma
Artichaut
Chardon marie
La formule du Détox repose sur une association d’actifs agissant en synergie :
– Complexe de plantes, connues pour leurs propriétés hépato-protectrices et détoxifiantes (1) (2) et leur action diurétique.
– Méthionine, choline et bétaïne, agissent comme protecteur des cellules hépatiques (3).
– Sorbitol, stimule la sécrétion d’hormones digestives (4).
(1) Le curcuma participe à l’activation des enzymes hépatiques.
(2) Le Chardon Marie a une action protectrice des hépatocytes.
(3) La faible teneur en protéines, les protéines de qualité élevée et les hydrates de carbone très digestibles participent au soutien de la fonction hépatique.
(4) La faible teneur en phospore participe au soutien de la fonction rénale.
Aliment diététique.
Composition
Sorbitol et glycérine végétale
Apports nutritionnels
CONSTITUANTS ANALYTIQUES
Protéine brute <1%
Cellulose brute <1%
Matières grasses brutes <1%
Cendres brutes 1%
Sodium <0,2%
ADDITIFS
VITAMINES, PROVITAMINES ET SUBSTANCES ANALOGUES :
Chlorure de Choline 75 240 mg/l
Bétaïne 3 420 mg/l
ACIDE AMINÉ :
Hydroxy-analogue de la méthionine 10 150 mg/l
MÉLANGE DE SUBSTANCES AROMATIQUES :
Extraits hydro-alcooliques de plantes (Curcuma longa, Cynara
scolymus, Sylibum marianum).
Conseils d’utilisation du produit
Depuis des siècles, les différentes civilisations humaines utilisent des plantes pour leurs vertus préventives et thérapeutiques et aujourd’hui encore, de nombreuses médecines traditionnelles reposent sur leur utilisation. L’Organisation Mondiale de la Santé estime d’ailleurs que 70% de l’actuelle population humaine y aurait recours pour se soigner [OMS, Genève, 2002].
Mieux vaut prévenir que guérir